La reine magique – Huile sur toile 40 x 60 pouces

3 250,00 $

Dans La reine magique, Mata Lee revisite l’iconographie des cartes à jouer en la transposant dans son univers visuel à la fois épuré, symbolique et profondément contemporain. La figure féminine, démultipliée comme dans une carte miroir, s’inscrit dans une verticalité austère, mais ouverte, où les gestes, les regards et les courbes deviennent autant de signes narratifs qu’esthétiques.

Les ailes d’insecte, translucides et délicates, agissent comme une métaphore de transformation : elles renvoient aux états intermédiaires, aux identités en mutation, aux passages subtils entre force et fragilité. La composition symétrique — propre aux cartes royales — est ici réinterprétée avec une douceur minimaliste, dénuée de décorum superflu. Tout se joue dans la tension entre la frontalité du visage, les yeux distants et l’espace pictural vaste qui les entoure.

En jouant sur les codes graphiques du jeu de cartes (pictogrammes, symétrie, cadre rigide) tout en les infusant de son langage intimiste, Mata Lee transforme la reine traditionnelle en un personnage énigmatique, presque mythologique, qui semble à la fois observer et être observé. L’œuvre interroge les dualités — pouvoir et délicatesse, magie et vulnérabilité, autorité et rêve — tout en ancrant cette reine dans une dimension personnelle et intérieure.

Dans La reine magique, Mata Lee revisite l’iconographie des cartes à jouer en la transposant dans son univers visuel à la fois épuré, symbolique et profondément contemporain. La figure féminine, démultipliée comme dans une carte miroir, s’inscrit dans une verticalité austère, mais ouverte, où les gestes, les regards et les courbes deviennent autant de signes narratifs qu’esthétiques.

Les ailes d’insecte, translucides et délicates, agissent comme une métaphore de transformation : elles renvoient aux états intermédiaires, aux identités en mutation, aux passages subtils entre force et fragilité. La composition symétrique — propre aux cartes royales — est ici réinterprétée avec une douceur minimaliste, dénuée de décorum superflu. Tout se joue dans la tension entre la frontalité du visage, les yeux distants et l’espace pictural vaste qui les entoure.

En jouant sur les codes graphiques du jeu de cartes (pictogrammes, symétrie, cadre rigide) tout en les infusant de son langage intimiste, Mata Lee transforme la reine traditionnelle en un personnage énigmatique, presque mythologique, qui semble à la fois observer et être observé. L’œuvre interroge les dualités — pouvoir et délicatesse, magie et vulnérabilité, autorité et rêve — tout en ancrant cette reine dans une dimension personnelle et intérieure.