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Flora Persona Huile sur toile — 30 × 40 pouces
Flora Persona s’inscrit dans la continuité des recherches de Mata Lee sur l’identité, la stylisation extrême du visage et la tension entre présence humaine et iconographie symbolique.
Le personnage, à la fois hiératique et fragile, est construit autour d’une économie de traits : un visage presque lisse, sculpté par la lumière, où les yeux — d’un bleu cristallin — deviennent le principal vecteur émotionnel. Leur précision contraste avec la neutralité du reste du visage, accentuant l’effet de distance qu’affectionne l’artiste.
Le décor végétal, réduit à ses lignes essentielles, agit comme une aura organique autour de la figure. Il ne s’agit pas d’un simple arrière-plan décoratif : ces silhouettes florales semblent prolonger l’intériorité du personnage, comme si la nature absorbait ou révélait ses contours.
Sur la chemise blanche, une forme noire stylisée accueille une unique touche rouge, rappelant tantôt un cœur, tantôt un pétale, cristallisant le jeu de double sens au cœur de la pratique de Mata Lee.
L’ensemble produit une figure silencieuse, délicatement théâtrale, où l’ornement devient langage et où le corps apparaît comme un terrain d’échanges entre symbole, mode et récit intérieur. Flora Persona devient ainsi un portrait méditatif, suspendu entre minimalisme narratif et intensité émotionnelle.
Flora Persona s’inscrit dans la continuité des recherches de Mata Lee sur l’identité, la stylisation extrême du visage et la tension entre présence humaine et iconographie symbolique.
Le personnage, à la fois hiératique et fragile, est construit autour d’une économie de traits : un visage presque lisse, sculpté par la lumière, où les yeux — d’un bleu cristallin — deviennent le principal vecteur émotionnel. Leur précision contraste avec la neutralité du reste du visage, accentuant l’effet de distance qu’affectionne l’artiste.
Le décor végétal, réduit à ses lignes essentielles, agit comme une aura organique autour de la figure. Il ne s’agit pas d’un simple arrière-plan décoratif : ces silhouettes florales semblent prolonger l’intériorité du personnage, comme si la nature absorbait ou révélait ses contours.
Sur la chemise blanche, une forme noire stylisée accueille une unique touche rouge, rappelant tantôt un cœur, tantôt un pétale, cristallisant le jeu de double sens au cœur de la pratique de Mata Lee.
L’ensemble produit une figure silencieuse, délicatement théâtrale, où l’ornement devient langage et où le corps apparaît comme un terrain d’échanges entre symbole, mode et récit intérieur. Flora Persona devient ainsi un portrait méditatif, suspendu entre minimalisme narratif et intensité émotionnelle.