Opaline-Huile sur toile 18 x 24 pouces

500,00 $

Opaline présente une figure féminine dont la présence semble à la fois incarnée et suspendue, comme si elle surgissait d’un espace intermédiaire entre la matière et la lumière. Fidèle au langage visuel que développe Mata Lee, le visage est structuré selon une grammaire minimaliste où chaque élément est réduit à son intensité expressive : yeux d’un bleu polaire, très écartés ; nez réduit à sa fonction la plus essentielle ; bouche rouge, vive, presque pictogrammatique. Cette réduction formelle ne simplifie pas l’émotion — elle la concentre.

L’ensemble du corps, traité en nuances de gris laiteux, évoque une peau opaline, presque minérale. Cette surface douce, sans texture apparente, rappelle l’esthétique des sculptures polies ou des porcelaines anciennes. Ce choix chromatique, associé à la pose frontale et à la nudité délicatement stylisée, confère au personnage une qualité quasi statuaire : un entre-deux fascinant entre le corps vivant et l’icône silencieuse.

Dans cette œuvre de 18 × 24 pouces, l’artiste poursuit sa réflexion sur l’identité recomposée et la fragmentation du visage. Le portrait, loin d’être une imitation du réel, devient un espace conceptuel où la figure humaine est déconstruite puis reconstruite selon des principes presque algorithmiques. Les traits, déplacés hors de leurs proportions traditionnelles — notamment les yeux, espacés de manière inhabituelle — insufflent une étrangeté douce, un léger décalage qui interpelle sans brusquer.

Le titre Opaline accentue cette impression de translucidité intérieure : une présence fragile, lumineuse, dont la force réside précisément dans sa retenue. L’œuvre ne raconte pas une histoire explicite ; elle propose plutôt une rencontre. Une rencontre avec un visage qui n’appartient à personne, mais qui porte en lui la possibilité de toutes les émotions — un visage recomposé, ouvert, invitant le spectateur à projeter ses propres sensibilités.

Opaline présente une figure féminine dont la présence semble à la fois incarnée et suspendue, comme si elle surgissait d’un espace intermédiaire entre la matière et la lumière. Fidèle au langage visuel que développe Mata Lee, le visage est structuré selon une grammaire minimaliste où chaque élément est réduit à son intensité expressive : yeux d’un bleu polaire, très écartés ; nez réduit à sa fonction la plus essentielle ; bouche rouge, vive, presque pictogrammatique. Cette réduction formelle ne simplifie pas l’émotion — elle la concentre.

L’ensemble du corps, traité en nuances de gris laiteux, évoque une peau opaline, presque minérale. Cette surface douce, sans texture apparente, rappelle l’esthétique des sculptures polies ou des porcelaines anciennes. Ce choix chromatique, associé à la pose frontale et à la nudité délicatement stylisée, confère au personnage une qualité quasi statuaire : un entre-deux fascinant entre le corps vivant et l’icône silencieuse.

Dans cette œuvre de 18 × 24 pouces, l’artiste poursuit sa réflexion sur l’identité recomposée et la fragmentation du visage. Le portrait, loin d’être une imitation du réel, devient un espace conceptuel où la figure humaine est déconstruite puis reconstruite selon des principes presque algorithmiques. Les traits, déplacés hors de leurs proportions traditionnelles — notamment les yeux, espacés de manière inhabituelle — insufflent une étrangeté douce, un léger décalage qui interpelle sans brusquer.

Le titre Opaline accentue cette impression de translucidité intérieure : une présence fragile, lumineuse, dont la force réside précisément dans sa retenue. L’œuvre ne raconte pas une histoire explicite ; elle propose plutôt une rencontre. Une rencontre avec un visage qui n’appartient à personne, mais qui porte en lui la possibilité de toutes les émotions — un visage recomposé, ouvert, invitant le spectateur à projeter ses propres sensibilités.