Panda Pop! Huile sur toile — 30 x 40 pouces

1 500,00 $

Panda Pop! s’inscrit dans la continuité esthétique de Mata Lee, où la figure féminine devient un espace de projection entre icône graphique et présence énigmatique. Le visage, volontairement dépouillé et blanchi, évoque une forme de neutralité émotionnelle qui rappelle les mannequins éditoriaux autant que les masques rituels.
Les yeux très distants, signature fondamentale de l’artiste, instaurent une tension perceptive : un regard qui semble à la fois fixe, introspectif et étrangement conscient du spectateur.

La coiffure stylisée, transformée en oreilles rondes évoquant un panda, introduit un jeu subtil entre animalité et mode. Les grands pois blancs, juxtaposés au col graphique, font glisser la composition vers un registre pop-minimaliste où la figure apparaît comme une icône d’un univers parallèle — ni humaine, ni digitale, mais parfaitement située dans l’entre-deux que Mata Lee explore depuis plusieurs années.

Le fond ponctué de cercles pâles agit comme un contrepoint céleste : des lunes abstraites, silencieuses, mettant en relief la blancheur du visage et le calme souverain du personnage.
Panda Pop! propose ainsi une méditation sur l’identité stylisée, la féminité distanciée et l’hybridité des figures contemporaines, où l’humain et le motif graphique se fondent dans un langage pictural unique.

Panda Pop! s’inscrit dans la continuité esthétique de Mata Lee, où la figure féminine devient un espace de projection entre icône graphique et présence énigmatique. Le visage, volontairement dépouillé et blanchi, évoque une forme de neutralité émotionnelle qui rappelle les mannequins éditoriaux autant que les masques rituels.
Les yeux très distants, signature fondamentale de l’artiste, instaurent une tension perceptive : un regard qui semble à la fois fixe, introspectif et étrangement conscient du spectateur.

La coiffure stylisée, transformée en oreilles rondes évoquant un panda, introduit un jeu subtil entre animalité et mode. Les grands pois blancs, juxtaposés au col graphique, font glisser la composition vers un registre pop-minimaliste où la figure apparaît comme une icône d’un univers parallèle — ni humaine, ni digitale, mais parfaitement située dans l’entre-deux que Mata Lee explore depuis plusieurs années.

Le fond ponctué de cercles pâles agit comme un contrepoint céleste : des lunes abstraites, silencieuses, mettant en relief la blancheur du visage et le calme souverain du personnage.
Panda Pop! propose ainsi une méditation sur l’identité stylisée, la féminité distanciée et l’hybridité des figures contemporaines, où l’humain et le motif graphique se fondent dans un langage pictural unique.